Sculpture bronze – Les trois grâces

Bronze « Les trois grâces », sculpture des trois déesses Grecques sur un épais socle en marbre noir.

Statuette réalisée selon la technique de la cire perdue, qui consiste à remplacer le modèle en cire dans le moule par du bronze, créant un bronze de de qualité comme autrefois.

Hauteur : 20 cm – Largeur : 10 cm – Profondeur : 7 cm

Poids : 2 kgs

Qui sont les trois Grâces ?

Euphrosyne est la joie poussée à son sommet, l’allégresse, la joie de vivre que l’on ressent dans un banquet (tel le banquet éternel des dieux auquel les hommes participaient au début du récit de la Théogonie) ;

Thalie est la personnification de l’abondance, voire la surabondance, le trop-plein de vie, qui se prodigue comme un don ;

Aglaé est la beauté dans ce qu’elle a de plus éblouissant, la splendeur. Il s’agit de la plus jeune et passe selon Hésiode pour l’épouse d’Héphaïstos à la place d’Aphrodite. Enfin, Aglaé est aussi la messagère d’Aphrodite.

Comme tous les dieux et déesses, elles sont éternellement jeunes et belles, à l’âge que les Grecs considéraient comme celui de la plénitude, entre quinze et vingt ans.

Les trois Grâces dans la mythologie romaine ou Charites, mais aussi présentes dans la mythologie grecque sont trois déesses qui incarnent et qui personnifient, la vie dans sa plénitude: beauté, créativité, fécondité, mais aussi la séduction et la nature

Les Grâces nommées aussi les Charites

Les Charites étaient représentées vêtues d’un long chiton et coiffées par une couronne, vers la fin du IV° siècles av. J.-C., elles sont représentées comme étant des jeunes femmes vierges, élancées, set se tiennent par la main, l’épaule et par la taille :

Une des Trois Charites tourne son regard dans le sens inverse des autres, dans une sorte de danse ; souvent nues, ou vêtues de légères étoffes sans agrafes ni ceintures et parfois d’un voile flottant. Dans certaines figurines elles tiennent à la main, une ou des roses, un dé à jouer et une branche de myrte.